Si l’enregistreur possède toujours sa propre alimentation, il n’en est pas forcément de même pour les caméras. Voici un rapide tour d’horizon des méthodes proposées selon la technologie que vous avez choisie pour les caméras qui composeront votre système. Alimentation locale ou centralisée ?
La solution classique consiste à placer une alimentation à proximité de chaque caméra IP, HD-CVI ou analogique. Connectée à une prise de courant 220V, l’alimentation fournit alors une tension de sortie en 12V continue avec une puissance nécessaire pour le bon fonctionnement de la caméra.
En outre, pour répondre à l’un ou l’autre de ces deux points, vous risquez de devoir faire appel à un électricien.
L’alternative économique consiste à utiliser un boîtier commun pour alimenter toutes les caméras. Ne mobilisant qu’une unique prise de courant, cette solution présente l’avantage de fonctionner sur n’importe quel réseau électrique existant, sans aucune transformation.
En outre, il vous suffit d’insérer un onduleur entre la prise électrique et votre boîtier d’alimentation centralisé pour garantir le fonctionnement de vos caméras en cas de coupure de courant.
Si vous faites le choix d’utiliser un onduleur, n’oubliez pas d’en faire profiter votre enregistreur…L’alimentation centralisée sera assurée par un boîtier dédié, que vous installez et branchez généralement à coté de l’enregistreur. En effet, pour fournir le courant vers chaque caméra, le boîtier d’alimentation va utiliser le câble de type "coaxial muni d’une paire cuivre supplémentaire".
Ainsi, on relie le câble coaxial sur l’une des entrées vidéo de l’enregistreur et la paire cuivre sur l’une des sorties électrique de l’alimentation centralisée.
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Voir notre selectionPour garantir une alimentation suffisante au-delà de 100 m, il est conseillé de tronçonner la ligne et d’insérer un ou plusieurs répéteurs POE chargés de réamplifier le signal d’alimentation, voire d’autres switch POE.